dimanche 22 septembre 2013


Carlos C. Lainez. Peintre et illustrateur espagnol contemporain.

Questionnaire à M. Régis Delpeuch

En mai dernier, les élèves de C2 ont préparé un questionnaire pour Régis Delpeuch, dans le cadre de leur prix littéraire. Suite à quelques problèmes techniques, ce n'est qu'aujourd'hui que nous pouvons vous présenter la réponse de cet auteur qui a un lien particulier avec le Maroc. La voici donc. Avec nos remerciements pour votre participation, M. Delpeuch.




Chers enfants,

Je suis ravi que vous ayez aimé L’ortogafeur.
C’est aussi un de mes livres préférés.
J’ai répondu à toutes vos (très bonnes !) questions.
J’espère que mes réponses vous feront connaître un peu mieux mon métier et vous donneront envie d’aller dévorer quelques autres de mes livres.

Bonne fin d’année et à bientôt… peut-être !

Régis Delpeuch


Comment avez-vous eu l’idée de créer « l’ortogafeur » ? Avez-vous eu de l’aide pour trouver cette idée ?
L’idée est de Pascale Boutry (qui fait BEAUCOUP de fautes d’orthographe !). On a fait le scénario ensemble, puis j’ai écrit le texte et Pascale a réalisé les illustrations.

Avez-vous mis beaucoup de temps pour écrire ce roman ?
J’ai mis environ 6 mois.

Avez-vous déjà écrit un roman avec un autre auteur ?
Oui ! Avec Pascale Boutry, j’ai écrit Le bêtisovore (sur les bêtises) et Gromolé (sur les gros mots… mais vous vous n’en dites jamais !)
Avec Michel Piquemal, j’ai écrit : Histoires de chats, Histoires d’ours, Histoires de cartables (qui sort en septembre 2013) et mon préféré : 20 contes des pourquoi.

Est-ce que vous écrivez vos histoires au stylo ?
Je commence par les écrire au crayon à papier puis après à l’ordinateur.

A-t-on déjà fait un film avec un de vos livres ?
Pas encore, mais j’aimerais bien !

Pourquoi écrivez-vous des livres sur le Maroc ?
Par ce que j’adore votre pays et ses habitants ! Parce que j’y vais souvent et parce que Monsieur AKDIM de la CDPL m’a demandé d’en écrire.

A quel âge avez-vous commencé à écrire ?
A 35 ans. Mais il n’y a pas d’âge pour commencer… ni pour arrêter !

Avez-vous une bibliothèque chez vous ?
Oui ! Avec beaucoup beaucoup de livres. J’adore LIRE !

Pourquoi la maîtresse est-elle méchante et vieille, et crie-t-elle toujours sur les enfants ?
Parce que j’en ai connu 2 ou 3 qui ressemblaient à Mlle Podvach quand j’étais maître d’école.

Pourquoi avez-vous écrit une histoire triste ?
Je ne trouve pas que ce soit une histoire triste. Léa et ses amis font disparaître l’ortogafeur et Mlle Podvach et en plus ils lisent de plus en plus ! Et lire c’est trop CHOUETTE !

Pourquoi vous obligez-nous à lire des fautes d’orthographe ?
Il y a seulement une page (une illustration) sur laquelle il y a des fotent d’oretaugrafe !

Est-ce qu’un ortogafeur vous a déjà embêté ?
Non pas moi. Mais il a beaucoup embêté mes élèves !

Pourquoi avoir choisi ce nom ? Et qui a choisi d’en faire le titre ?
C’est un jeu de mots : orthographe+gaffeur qui est tout de suite venu à mon esprit.
Et après, c’était forcément le titre !

Comment avez-vous choisi les illustrations ?
Je ne les ai pas choisies. Pascale les a faites et moi je les trouve superbes !

dimanche 15 septembre 2013

Bonne rentrée !

Une nouvelle année scolaire débute, et avec elle reprennent les ateliers en bibliothèque. Nous vous rappelons que les inscriptions au prêt sont ouvertes et que les enfants sont invités à venir trouver leur bonheur parmi les quelques 8000 ouvrages que nous leurs proposons. Comme l'année dernière, nous vous présenterons chaque mois les nouvelles acquisitions. En plus de ces livres que nous achetons tout le long de l'année, nous vous rappelons aussi que nous sommes abonnés à sept titres de périodiques pour la jeunesse ! Enfin, nous continuerons à publier sur ce blog les activités des enfants autour du livre, ainsi que des thématiques ou des présentations d'auteurs pour la jeunesse. Ces deux derniers types de publications ont aussi pour but de vous faire connaître les ouvrages qui constituent le fonds de notre bibliothèque.

Et pour mieux reprendre le chemin de nos lectures, voici les droits imprescriptibles du lecteur, de Daniel Pennac