dimanche 6 mars 2011

Rencontre avec Roland Fuentès, un écrivain à l'école



Le vendredi 18 février 2011, nous avons eu le plaisir de recevoir Roland Fuentès, auteur de littérature jeunesse, venu à Casablanca dans le cadre du SIEL (Salon International de l'Edition et du Livre). Les élèves des 3 classes de C5 ont préparé sa venue en faisant des recherches sur son parcours, en lisant ses livres dont ils ont ensuite rédigé une critique, et en préparant des questions autour de son métier.

Vous retrouverez ci-dessous le résultat de ce travail, agrémenté de quelques photos de la rencontre.



Roland Fuentés

Biographie

Né à Oran en 1971, Roland Fuentès a passé son enfance en Algérie et sa jeunesse en Provence. Son premier prénom est germanique, son second prénom, Karim, est arabe et son nom de famille espagnol. Quand on lui demande d'où il vient, il met toujours un moment à répondre.
Il passe trois années en sport-études natation à Antibes, expérience riche en rencontre. Le bac en poche, il tente pendant quelques mois de devenir dessinateur de bandes dessinées, mais il comprend rapidement qu'il lui faut un métier qui lui assure un salaire et du temps. 
Il s’oriente alors vers les langues étrangères et devient professeur d’allemand dans le Jura. Aucune raison particulière ne le pousse vers cette langue, sinon le hasard des amitiés. "Ca aurait pu être le chinois ou l'arabe. Une langue de toute façon. Ce sont les mots qui m'intéressent." 
Il enseigne à mi-temps pendant neuf ans, et emploie l’autre partie de son temps à écrire des nouvelles et des romans, d’abord pour adultes puis pour la jeunesse.
Aujourd’hui, Roland Fuentès vit dans l’Ain, avec sa femme et ses trois filles. Depuis trois ans, il se consacre entièrement à l’écriture, son rêve d’enfance.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter son blog : http://rolandfuentes.hautetfort.com/



Interview


Les élèves de C5 qui ont pu rencontrer Roland Fuentès lui ont posé une série de questions, qu'ils ont ensuite retranscrites afin de vous en faire partager les réponses.

Quel est l’endroit le plus convenable où vous pouvez écrire ?
Je peux écrire dans tout endroit calme et silencieux pour me concentrer. Les seules choses dont j’ai besoin pour écrire sont un stylo, du papier, et le calme.


Avez-vous un stylo fétiche ?
Non, je n’utilise pas de stylo en particulier, mais un stylo tout à fait ordinaire (il sort un stylo de sa poche).


Qui vous a poussé à écrire ?
Personne ne m’a poussé. J’écris depuis que je suis petit et je n’ai jamais arrêté.

Combien avez-vous écrit de livres ?
J’ai écris à ce jour 11 livres pour enfants et 7 pour adultes.

Quel est le titre du premier livre que vous avez écrit ?
Le titre est « Le musée ». J’étais tellement content qu’il soit publié que j’allais dans les librairies voir si mon livre y était.

A quel âge allez-vous prendre votre retraite ?
J’espère ne jamais la prendre. C’est un métier qui ne demande pas beaucoup d’efforts et que j’espère faire le plus longtemps possible.

Qu’est-ce qui vous fatigue le plus dans votre métier ?
Rien, car c’est mon métier et c’est moi qui l’ai choisi. J’aime ce que je fais.

Quel auteur aimez-vous ?
J’aime beaucoup d’auteurs, mais mes préférés sont Italo Calvino et Dino Buzzati.

De qui vous inspirez-vous ?
Je ne m’inspire de personne en particulier, mais il est certain que mes lectures peuvent avoir une influence sur moi.

Quel est votre genre de livres préféré ?
J’aime tous les genres de livres.

Pourquoi ne faites-vous plus de bandes dessinées ?
J’aime bien les bandes dessinées, mais je préfère écrire des romans et des contes.

Quel est votre illustrateur préféré ?
J’aime beaucoup l’illustration de « un écrivain à la maison » car le dessinateur a représenté sur la première de couverture tous les personnages du roman, en respectant bien leur apparence physique, ce qui prouve qu’il a bien lu le livre entièrement avant de l’illustrer.
J’aime aussi beaucoup les illustrations d’ « un amour sur mesure ».

Avez-vous déjà essayé d’écrire des livres philosophiques ?
Non, je les trouve ennuyants. Je préfère les livres un peu farfelus. Mais j’essaye de faire passer des messages dans mes romans.

Lorsque vous voyagez et que vous vous trouvez dans des endroits qui vous marquent, les utilisez-vous dans vos romans ?
Oui, ça m’arrive souvent de me servir d’endroits visités ou de situations vécues dans mes romans.

Comment et où trouvez-vous votre inspiration ?
Je trouve mon inspiration n’importe où, j’observe ce qu’il se passe autour de moi.

Comment vous sentez-vous quand vous écrivez un livre ?
J’ai l’impression de parler avec mes personnages, comme s’ils étaient devant moi.

Combien de temps vous faut-il pour écrire un livre ?
Chaque livre prend un temps différent, suivant sa longueur et sa complexité.

Est-ce qu’il y a une personne qui vous aide à écrire vos livres ?
J’écris seul, mais ensuite, l’éditeur peut me demander de modifier mon texte et me donner des conseils pour réécrire certains passages.


Roland Fuentès répond aux questions

Est-ce que vous avez déjà eu l’idée d’écrire un livre parlant du Maroc ?
Pour l’instant non, car je ne connais pas bien le Maroc. Mais je commence à le visiter, et peut-être qu’un jour, j’écrirai une histoire qui se situe au Maroc.

Pensez-vous écrire un livre sur le désert ?
Je n’ai pas prévu de le faire, mais peut-être écrirai-je un livre sur le désert dans l’avenir.

Allez-vous écrire un livre sur les révolutions qui ont lieu en ce moment ?
Non, car je n’écris pas de livres politiques, je laisse ça à ceux dont c’est la spécialité.

Avez-vous rencontré des auteurs marocains ?
J’ai déjà lu quelques livres d’auteurs marocains, mais je n’en ai jamais rencontré.

Quelle est la ville que vous aimez le plus au Maroc ?
Les villes que je préfère parmi celles que je connais sont Marrakech, Ouarzazate, et le Sahara. Mais j’aime bien aussi Casablanca.

Qui vous a poussé à choisir un prénom arabe ?
Je suis né en Algérie, et mes parents voulaient m’appeler Karim. Mais des amis algériens leur ont conseillé de me donner aussi un prénom français, à cause des problèmes de racisme que je pourrais rencontrer en France.

Avez-vous des enfants ?
Oui, j’ai trois filles et c’est d’ailleurs grâce à ma plus jeune fille qu’  « Un amour sur mesure » a été édité. Les éditeurs avaient tous refusé ce livre, mais ma fille l’aimait beaucoup et disait  sans cesse qu’il devait être publié. Alors, un jour, je l’ai ressorti du tiroir, je l’ai relu, un peu modifié, et finalement envoyé de nouveau à quelques éditeurs. Et c’est ainsi que les Editions Nathan ont décidé de le publier.

Pouvez-vous vivre de votre métier d’écrivain sans avoir un autre travail à côté ?
Oui, maintenant, je peux vivre de mon métier d’écrivain. J’ai d’ailleurs arrêté d’être professeur d’allemand.

Qui est-ce qui vous a poussé à aller en Allemagne ?
Lorsque je suis allé en Allemagne avec le collège, je m’y suis plu. Je m’y suis fait des amis que j’ai toujours, et j’y suis retourné en grandissant.

Quelle langue aimeriez-vous apprendre ?
J’aimerais bien apprendre toutes les langues.

Pourquoi avez-vous traduit « Mon île de pirates » ?
C’est un livre dont on m’a proposé de faire la traduction, ce n’est pas un choix personnel à la base.

Préférez-vous le métier de professeur ou celui d’écrivain ?
J’aime le métier de professeur, mais j’ai rêvé d’être écrivain depuis tout petit.

A part les métiers d’écrivain et de professeur, aimeriez-vous exercer un autre métier ?
J’aime tous les métiers artistiques, mais je devrais vivre mille ans pour tous les pratiquer correctement.

Y a-t-il un lien entre votre voyage en Allemagne et « L’échange » ?
Oui, je me suis inspiré des voyages que j’ai effectués en Allemagne en tant qu’élève, puis en tant que professeur d’allemand. Mais l’histoire reste imaginaire.

Avez-vous écrit des livres en allemand ?
Non, j’aime traduire des livres de l’allemand au français, mais je ne pourrais pas écrire des livres directement dans cette langue. Je pense qu’on ne peut bien écrire que dans notre langue maternelle.

Comment avez-vous pensé à écrire « Tics olympiques » ?
Quand j’étais petit, j’aimais et je pratiquais la natation. Je faisais aussi un peu de mouvements bizarres, comme des tics. Mais quand je me concentrais sur quelque chose, mes tics disparaissaient.

Aviez-vous des tics comme dans votre livre « Tics olympiques » ?
J’avais des tics quand j’étais petit, mais pas autant que Julien dans mon livre, et quand je me mettais à nager, tous mes tics disparaissaient, comme mon personnage. Mais maintenant, je n’en ai plus.

Sachant que vous avez fait une formation « sport-études », pourquoi n’avez-vous pas continué votre carrière en tant que sportif ?
Faire « sport-études » ne consiste pas à devenir sportif, mais à faire des études et en même temps du sport. Et je voulais avoir une vie de famille normale, ce qui est difficile quand on est un sportif de haut niveau.

Avez-vous remporté une médaille en natation ?
Eh bien oui, j’en ai remporté quelques-unes en France, mais j’ai arrêté la compétition quand je suis parti en Allemagne.

Etait-ce voulu, dans Un amour sur mesure, que l’on devine la fin dès le début de l’histoire ?
Non, ce n’était pas le but. As-tu été déçu ?
Non, pas vraiment, et en plus, ce livre ne s’adressait pas à mon âge (7/8 ans), c’est peut-être pour cela que j’ai deviné la fin.

Quelques couvertures revisitées par des élèves


Bibliographie et critiques
  

Pour préparer la venue de Roland Fuentès, les élèves des trois classes de C5 ont lu un ou plusieurs livres de l'auteur. Ils en ont ensuite rédigé des critiques. Il faut cependant tenir compte du fait que les titres "Un amour sur mesure", "Le bureau des mots perdus", "Tonton Zéro" et "Mon île de pirates" s'adressent à de très jeunes lecteurs, alors que "Les voleurs de vents" est destiné normalement à des enfants de 12 ans. Mais cela n'a pas empêché nos lecteurs d'émettre un avis.


Contes

Le Bureau des mots perdus. Collection Nathanpoche. Editions Poche.

Présentation de l'éditeur

Ce matin, ta mère de Timéo lui a ordonné de ne pas oublier le ? Le garçon n'a pas entendu la fin de la phrase. Il se rend au bureau, des mots perdus lorsqu'il. Veuillez nous excuser, l'éditeur a égaré ses mots et se trouve actuellement au bureau des mots perdus pour rétablir la situation.


L’histoire est un peu banale et très facile, je ne l’ai pas vraiment appréciée.
Oumaïma Ouajjou C5A

Moi, en tous cas, j’ai aimé ce livre car il y a du suspens. J’ai aimé comment l’auteur a appelé son livre, les aventures, le chasseur et les jeux de mots.
Mouad Hakim Slaoui C5A

J’ai beaucoup aimé car il y a beaucoup d’imagination et l’histoire se termine bien.
Wissal Abbour C5A

J’ai aimé ce livre car il y a beaucoup d’imagination.
Othman Bassim C5A




Un amour sur mesure. Collection Nathanpoche. Editions Nathan

Présentation de l'éditeur

Dans le pays de Micromagne, deux habitants sont si malheureux que même le soleil a honte de briller. Garganton, le géant minuscule et Mimolette la naine immense, sont rejetés par leurs pairs à cause de leur différence de taille. Jusqu'au jour où...


J’ai aimé ce livre car tout commence mal, mais se termine bien.
Mouad Hakim Slaoui c5A

C’est un livre magnifique sauf quand l’auteur dit « la nuit noire comme la nuit », ça revient au même. Mais le reste est assez original.
Aymen Ibn Najah C5A

Je n’ai pas vraiment aimé ce livre parce que l’histoire était pour des enfants de 7/8 ans. De plus, après avoir lu le début, on connait la fin de l’histoire.
Youssef El Kasmi C5C

C’est une belle histoire facile à comprendre et aussi un peu drôle.
Ibtissame Er-rachydy C5A

Je n’ai pas trop aimé ce livre car, quand l’auteur commence à parler des deux personnages, on devine la fin.
Wissal Abbour C5A

J’aime bien ce livre car je trouve que c’est une bonne idée d’écrire sur un grand nain et une petite géante.
Fatima-Zahra Habibi C5A


Romans


L'échange. Collection Tempo. Editions Syros.

Présentation de l'éditeur

Maxime sort avec Maroussia, la fille la plus belle, mais aussi la plus odieuse du collège. Au moindre faux pas, Maroussia crie, blâme, griffe avec ses ongles très longs et très durs. Lorsque Maxime s'inscrit au voyage linguistique proposé par son prof d'allemand, la jeune fille, jalouse, lui lance un défi: rapporter le coussin en soie exposé au château de Neuschwanstein

Lecture du 1er chapitre du roman "L'échange"

J’ai adoré les personnages, surtout Maroussia . Son caractère m’a plu car des filles comme elle sont très rares dans les histoires. Elle est belle, mais agressive, violente et autoritaire. Ca vaut la peine de lire ce livre.
Oumaïma Ouajjou C5A

C’est un livre magnifique. Il est très proche de la vie, à part Maroussia qui est une vraie sauvage. Et c’est un peu bizarre qu’à la fin, elle devienne gentille sans raison.
Aymen Ibn Majah C5A

J’ai beaucoup aimé ce livre car je trouve que l’auteur utilise ce qu’il a appris et car il y avait au début Maroussia avec des griffes pointues, et à la fin, elle devient gentille avec des ongles ras.
Fatima Zahra Lissane Eddine C5C

Ce roman est un récit de vie qui nous parle d’un garçon qui sort avec  la fille la plus belle et la plus odieuse du collège, et qui doit partir en Allemagne pour un échange linguistique entre lui et une famille allemande, et sa copine lui demande de lui ramener un coussin en or.
J’ai aimé ce livre car il parle d’un échange entre un garçon français et une famille allemande qui apprennent à se connaître, à apprendre leurs langues, leurs goûts, leurs habitudes…
Samia Benchekroun C5B

  

Tics olympiques. Collection Tempo. Editions Syros

Présentation de l'éditeur

"Au collège, on m'appelle "le sapin". Ou "Noël", même si mon véritable prénom c'est Julien. Ça vient de mes yeux, qui clignent en permanence. La plupart des gens ne me supportent pas cinq minutes en face d'eux. Ils disent que je les rends nerveux." Julien est bourré de tics. Le seul moment où il les oublie complètement, c'est lorsqu'il nage, au club Aubagne Natation, où s'est aussi beaucoup entraîné Alain Bernard, son idole. Alors, cet été, Julien a décidé de remédier à son problème. Il va tirer profit des épreuves de natation des JO de Pékin pour engager la plus dure des compétitions... celle qu'il va se livrer à lui-même, contre ces tics qui lui empoisonnent l'existence!


J’ai aimé ce livre car il parle d’un garçon un peu bizarre, son caractère est bizarre, son imagination aussi était bizarre. J’ai remarqué que sa vie était à la fois joyeuse et triste.
Nour El Amil C5B

J’ai aimé ce livre parce que le style est simple et qu’il n’y a pas d’image. La fin est très bien, Elle est très joyeuse et pas stressante.
Batoul Al Mandri C5B

J’ai bien aimé cette histoire car ça parle de quelque chose qui peut arriver dans la vie. En fait, ça parle d’un garçon qui a des tics, et qui essaye de s’en débarrasser.
Kenza Benjelloun C5A

J’ai aimé ce livre car il nous montre que la natation est un bon remède contre les tics.
Hassan Bastor C5A

J’aime ce livre car il donne un conseil et il parle d’un enfant qui a des tics et qui va s’en débarasser. Si vous voulez savoir comment, lisez-le !
Anas Lasfar C5C

J’ai bien aimé ce livre par rapport aux tics embêtants de Julien, car quand j’ai lu ce livre, j’ai compris qu’avoir des tics n’est pas un vrai plaisir.
Ce que je n’ai pas aimé, c’est que Roland Fuentès a beaucoup trop parlé de natation.
Par rapport aux autres livres de Roland Fuentès, celui-ci ne parle pas du tout d’amour, mais que de natation.
Selwa Rezouk C5C




Un écrivain à la maison. Collection Tempo. Editions Syros

Présentation de l'éditeur

Epaulés par leur prof de français, Gérald, Chardon, Tomate et quelques autres se sont lancés dans une entreprise un peu folle : organiser le premier salon du livre de la ville de Saint-Cloque. Recherche d'un local, vente d'encarts publicitaires, impression d'une affiche, hébergement des auteurs... autant de défis auxquels la petite troupe s'attelle dans la bonne humeur. Christian Rivage et Juliette Carton, les deux écrivains invités, sont attendus de pied ferme !


Ce livre m’a beaucoup plu et j’étais impatient d’en connaître la fin car ça paraissait réel.
Sohaib Choufani C5C

J’ai bien aimé cette histoire car elle est belle et passionnante, et on prend beaucoup de plaisir à la lire.
Oumaïma Ouajjou C5A

Un jeune homme âgé de 13 ans, nommé Gérald, invite deux auteurs, Christian Rivage et Juliette Carton. Ils organisent un salon du livre et tout se passe bien.
Je n’ai pas aimé ce livre car les phrases sont très compréhensibles et le langage est assez courant. Mais l’illustration est très bien choisie.
Amine Drissi Touzani Walali C5B

Ce livre est très intéressant, c’est un excellent récit de vie qui parle d’un garçon qui va accueillir un auteur chez lui, et il est fan d’écrivains. Je vous conseille de lire ce roman.
Nadir Ennaki C5B




Les voleurs de vent. Collections Les Uns Les Autres. Editions Syros

Présentation de l'éditeur

Allemagne, fin du XIVe siècle. En ce Moyen Âge frileux et cruel où la ligue hanséatique, l'association de marchands qui contrôle le commerce de l'Europe septentrionale, est à l'apogée de sa puissance, la jeune Anika a choisi son camp : celui des artisans, des marins et des pirates, ces Likedeeler qui partagent avec plus malheureux qu'eux les biens dont ils se sont rendus maîtres. Pour retrouver le jeune mousse qui l'attire follement, Anika s'embarque, déguisée en homme, sur une cogue en partance pour le grand marché au hareng de Scanie...


J’ai moyennement aimé cette histoire, mais le style de l’auteur m’a tout de même plu. Vous trouverez des évènements de joie et aussi de tristesse. L’illustration de la 1ère de couverture correspond vraiment à l’héroïne de l’histoire. Cette histoire raconte la vie d’une fille qui travaille avec des marins. Quelle aventure ! Je vous conseille de lire ce livre car il est très intéressant au niveau du vocabulaire.
Adam Boukind C5C

Je n’ai pas compris tous les mots, mais à part ça c’est bien.
Oumaïma Ouajjou C5A

J’ai trouvé ce livre ennuyeux car on se lasse dès le début. Il y a trop de détails et pas assez d’aventure.
Ayoub Kehely C5C





Tonton Zéro. Collection Minis Syros Romans. Editions Syros

Présentation de l'éditeur

Avec tonton Zéro, on voulait grimper au sommet du Cuchon. " Il y en a pour quatre heures, et c'est fléché tout le long ! ". Tonton Zéro avait parlé d'une voix ferme, celle de quelqu'un qui connaît son affaire. Et c'est bien ce qui a inquiété maman...


J’ai aimé Tonton Zéro car il y a beaucoup d’aventures et il est fantastique parce qu’ils vont grimper au sommet de Cuchon. J’ai tout aimé car l’écriture est grande et c’est facile à lire, c’est un livre pour les plus jeunes.
Idriss Nazil C5A

J’ai beaucoup aimé la fin de l’histoire et surtout quand Zéro a dormi comme un bienheureux.
Fatima Zahra Lahlou C5C


 Traduction


Mon île de pirates. Ali Mitqutsch. Editions Syros
Présentation de l'éditeur
 En fermant les yeux le soir, le petit garçon rejoint son île. Il y retrouve toutes sortes de pirates : des sympathiques, des paresseux ou des méchants et entre les batailles, le vol des trésors ou les fêtes de victoire, la vie bat son plein ! "C'est toujours un régal de voir des pirates voler à d'autres pirates des trésors déjà volés". Quand le soir tombe sur l'île, le petit garçon peut enfin prendre du repos.


J’ai aimé car il y a des textes très faciles à lire et les dessins se rapportent à ce que l’on lit. Mais je n’ai pas aimé l’histoire.
Taha Badrane C5B

Je n’ai pas aimé ce livre car il n’y a pas d’action. C’est juste un enfant qui raconte la vie sur son île. Mais j’ai aimé les illustrations, car elles donnent du sens à ce qu’on lit. C’est aussi un livre facile à lire.
Yassine Abouelfath C5B

J’aime bien ce livre car il est amusant et passionnant.
Zakaria Benmoussa C5B





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